SIR-O3.052024_ convoitise
SIR-O3.052024
RPL, j'ai maladroitement jeté le dévolu de quelques émois sur ta personne.
Tu m'inspires tant d'aspects, tant de bonnes choses. Tu me fais réaliser une déroute de mes idées de cadres sentimentaux. C'est vrai que ton patronyme est un peu moins goûteux que le mien_ mais je me vois consentir à laisser nos progénitures de probabilité accueillir nos deux patronymes, à savoir le tien en extension.
Ton âme me procure des pensées de réflexions houleuses, ta tranquillité contribue à mon apaisement émotionnel. Mes choix de grands ajournements intimes semblent se rebeller contre moi_ j'ai soudain l'envie et la patience de saluer tes terminaisons labiales des miennes et te laisser me souffler ta si belle et intense volonté de forme d'amour.
En si peu de temps, je viens à inclure un nous de possibilité dans la tête de cette dame. Paisible et aimante, je voudrais interrompre ta course et prendre place au siège voisin au tien. Tu me nommes ta dame, ta (femme) de mots, de paroles_ pourtant, un désir s'élance vers une pensée plus odieuse.
Oserais-je repentir mes sentiments à ta foi d'attention?
Ta compagnie paraît de paix et de respect, facteurs eux deux pour moi... aspirant à l'entente de sensibilité. Sache que je suis cette dame de consensus et de communication (pas aussi douée que toi, je l'avoue bel homme au doux charme).
Oserais-je compatir à avoir des attentes qui rapporteraient à ta personne ? Ne serait-ce nonchalant de ma part?
Je suis de confiance nourrie, que la douce affection se partage et ne s'attend pas.
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Tu m'intéresse à un point tel, que j'en viens à remettre quelques victoires intérieures en question... Puisses-tu me redresser si je m'éloigne de discours de logique humaine.
Quelle est la raison pour laquelle je me sens pareille à une mère reliée à son cœur de fils par le cordon ombilical, avec toi_ l'impression que tu fais partie de moi, et que j'avais égaré cette mémoire de sentiments. Je nourris toujours des passions de pouvoir bien mener l'attention et de la mériter, et de me joindre à un débat de son évolution pure.
Humble voire modeste personnage, on m'identifie; je me sens poussée par cette lumière d'intention, qui me souffle de te tenir une carte de vie.
Ta peau me manque, et cela sans que j'eus le temps de la connaître_ je me retiens, de l'action de sensibilité (puisqu'elle porte en elle toute une promesse de soutien et de coexistence ivre de pulsions dignes). Cette coexistence qui dénonce un vouloir muet de supprimer toutes histoires précédentes et/ou présentes qui poursuivent une parallèle de raison avec d'autres âmes sœur de choix.
"C'est compliqué", tu m'as partagé.
§ Voudrais-tu entamer un récit d'amour de renouveau avec mon humble et imparfait casier humain !?
Ce n'est pas une demande, beau chéri_ c'est une préoccupation de considération.
Je me lis en toi, tel un chez moi en toi sans que tu ne sois au courant. Ces typologies d'échelles de tensions hormonales se régulent de bizarre manière en mes cellules. Je ne voudrais trop nous polir les idées.
Que redoutes-tu le plus dans un domaine de lien d'amour ? Quel type d'amour est le tien?
Serais-tu de suggestion à nous protéger dans ces intuitions sentimentales duelles, ou nourris-tu d'idéal des efforts de cœur pluriels? N'aie pas de retrait à ton devenir_ sollicité à la nature des raisons, et dis moi de rompre ou non mon projet de foyer en cours pour renaître par nous, un idéal d'initiative de sensibilité institutionnelle.
Je ne souhaite offrir un Amour, simplement le laisser venir en bonus à un contrat de vie qui serait nôtre. Tu veillerais sur moi, je veillerai sur toi.
_ ta femme des mots, Elle
Loohri PEDRAN
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