Perpétuelle Humilité, DP

Perpétuelle Humilité
Pauvre- Riche
Riche - Pauvre

Un cycle du pouvoir, l'appel d'une suprématie inhumaine qui lierait les âmes et qui protégerait leur accomplissement. Loi qui suit les fondements d'une égalité éternelle avec la voie de ce Dieu, qu'on y croit ou qu'on n'y croit pas_ Les terrains, les cultures nous ont guider et nous guident encore, nous voulons toujours être guidé et cela, par l'Amour d'un mystère Tout-puissant. Une recherche de l'égalité (non du genre humain, mais de l'humain lui-même_ dans son intégralité, qui ne peut être autrement qu' égal à lui-même). Nous demeurons égaux. Des efforts qui persistent avec le vouloir de se battre pour ce bien collectif, et cette appartenance à une patrie démunie élimine toute observation de risques. Notre force réside dans ce devoir de connaissance, que notre seule existence peut se perdre,et que toute perte liée à ces ambitions d'activités de civilisation ne représente toujours que peu. Et le savoir de possession dépendant de ces efforts fait qu'elle, notre force, n'est liée à aucune dominance étrangère_ sachant qu'on peut toujours recommencer et faire connaître davantage de nos accomplissements. Ainsi l'argent, le travail de ce temps sont tous dépendants de l'esprit de l'homme. L'homme fait acte de charité à ses émois par moment, afin de s'identifier de temps à autre comme attache dépendant de ses propres limites.

Il réinvente dans le dégoût, d'autres créations, et s'inculque quelques abnégations et voue ainsi tout son passage conscient sur ces terrains de disputes à éloigner l'ennui par la force et le pouvoir. Il se permet de se soumettre à lui-même, pour dissimuler sa connaissance inestimable. Impulsion rapide le pousse à lutter contre lui-même. Quand, par moment ils redécouvrent  leur égalité inhérente, ils se perdent dans ce principe de l'inégalité pour ne pas reconnaitre leur pouvoir de coexister et d'obéir à leur égalité. Avantages et dangers d'eux-même. Ils sont encore leur propre obstacle_avec ce non-vouloir de se reconnaître égaux. On fuit la loi égale qui ne peut être autrement, par ce mal de recherche d'égalité.



À chercher à prouver l'ordre normal, l'on prouve par les doutes le contraire. Le secret du vivre ensemble est de toujours faire deux pas de recul après en avoir fait dix, ainsi l'on peut identifier le semblable qui ose traverser le temps et l'espace. C'est l'homme qui écrit République et inscrit Communauté. On se permet de se développer (en habituant la majorité à goûter aux quotidiens des grands connaisseurs, leur pousser à rêver). Étranger? Quid étranger? Avec un semblant d'héritage, l'on se trompe de par nos capacités. Et on s'abaisse pour juste en tirer profit, en opposition à notre nature parfaite. À vouloir trop aider l'oiseau, on le gêne dans son envol; il commence alors à voler dans le placard du foyer au lieu que dans les airs.

On met en registre,souvent c'est bien, parfois c'en est trop. La douleur rend humble et réceptif au besoin. On dénote par ces symboles et ensuite l'on se demande comment survivre sans son application. L'on devrait préférer à appeler( nommer) que celui ou celle qui remplit les d'obligations voulus, au lieu de celui ou celle qui remplace son prédécesseur à ce poste. On n'honore pas avec un titre, mais avec de l'action. L'héritage fait parfois mal. Par la recherche, l'un ressemble à celui qui devrait guider_ par la suite, les autres abandonnent en ses mains leur propre responsabilité  et suivent dans le bon vouloir les enseignements de ce guide. Et associant dorénavant, tous ces bonheurs et malheurs au devoir du guide. Chaque enfant hors de sa maison est de suite ambassadeur de son foyer et agit en son nom, l'ouvrier en dehors de son poste représente son industrie et agit consciemment ou inconsciemment en son image. Beaucoup d'étiquettes qu'on se crée,et ils nous pèsent continument.

On se retrouve tous, collaborateurs de ce passage. Tu es mon  contemporain, donc de mon temps_ j'ai à préférer à bien faire voir mon temps qu'autre, ainsi contribuer à ton essor de même que tu as à préférer contribuer au mien. Une nation qui se préfère, commence par s'occuper au bas de l'échelle et non de l'inverse. Et on a à préférer l'administration en dessous avant de s'y mettre au dessus ( sans une solide base, les tours s'effondraient ). La meilleure tour s'embellit avec la force de son pilier. Ignorer le pilier et commencer à bâtir du haut, nous ramènerait à tomber sous le poids de la pesanteur. On a à préférer à s'attribuer le partage d'autorité pour l'ordre, dans le vouloir de développement. Bien diviser l'autorité, permet de ne plus dépendre directement  d'auxiliaires externes_ et tout se fait dans le bon ordre et toute autorité trouve dans son devoir de tracer son exemple. On aime la répétition, ce qui permet de concourir avec autrui ( Un policier de circulation n'a pas à préférer concourir dans la cour du dentiste_ à moins qu'il l'ait été lui-même ). Toute étude nuit au bons sens, pour la poursuite du bon sens et sa stabilité on a recours à l'étude.

Loohri PEDRAN_

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